Actualités mises à jour le 30 décembre 2020

Annonces

Nouveauté 2020

Réf.  PBM 66.20-SMF19 23.32

Transcription pour orgue Nanon Bertrand.
Interlude (Acte II, 1er tableau, scène 3) et Danse espagnole (Acte II, 2e tableau, scènes 1 et finale) pour Grand Orchestre.

Actualités mises à jour le 20 mai 2019

Parutions

Gestion / Diffusion

Actualités mises à jour le 30 juillet 2018

Parutions

Nouveauté 2018

Actualités mises à jour le 30 juin 2017

Parutions

Nouveauté 2017

Substitutions, glissés, liaisons des octaves, doigtés par renversement, articulation des accords, notes répétées, staccato, ornements, expression.

Ainsi que René Vierne l'écrit dans l'avant-propos de la Méthode : « Cette méthode s'adresse aux personnes ayant déjà une certaine pratique du piano [...] et peut servir, sans aucune suppression ni adjonction, à l'étude des claviers manuels de l'orgue à tuyaux. »

Actualités mises à jour le 23 juin 2016

Concerts

9 octobre 2016

orgue

Concert du 9 octobre 2016
Récital orgue, Nanon Bertrand.

Chapelle de la Salpétrière — 47 boulevard de l'Hôpital — 75013 Paris.
Programme : Dietrich Buxtehude, Alexis Chauvet, A.P.F. Boëly, Max Reger.

Actualités mises à jour le 23 juin 2016

Parutions

EN PRÉPARATION

Alexandre Pierre François Boëly

Œuvres complètes pour orgue
Volume VII
Les messes, les versets de messes

Œuvres complètes pour orgue
Volume VIII
Les hymnes, les antiennes, les proses

Cantiques et motets pour une voix et accompagnement, trois voix égales et/ou mixtes avec accompagnement d'orgue ou de pianoforte

Chaque cantique ou motet en fascicule séparé.

René Vierne

Œuvres pour orgue et orgue expressif
Volume VI
20 Préludes-excercices

Deux motets pour chœur à 4 voix mixtes SATB et orgue

Actualités mises à jour le 7 août 2015

Concert

11 september 2015

concert Russie 2015

Nanon Bertrand, récital d'orgue, 11 september 2015, 20:00.

Cathédrale luthérienne Pierre-et-Paul — Starossadsky Pereoulok, 7/10 — Moscou 101000.
Métro: Lubjanka (lignes 1 et 7) ou Kitaj-Gorod (lines 6 et 7).
Programme, œuvres de Bruhns, Niedermeyer, Chauvet, Gigout, Boëly, Reger.

2014

In memoriam

René Vierne

En cette année 2014, ont débuté les commémorations de la guerre de 1914-1918.

Mobilisé à la déclaration de la guerre, René Vierne part pour le front le 8 août 1914. Malgré les épreuves, ses lettres témoignent d'une activité musicale intense. Au front, il dispose d'un piano, il compose et fait de la musique de chambre ou vocale avec ses camarades. Il écrit très souvent à son frère Louis. Pourtant, depuis la mort sous l'uniforme, le 12 novembre 1917, de son jeune neveu Jacques (17 ans), fils de Louis, il n'éprouve plus le même état d'esprit guerrier : il en veut à ces événements qui lui ont arraché l'un des siens.

Le « petit caporal », « décoré de la croix de Guerre avec étoile de bronze, de la compagnie du 414e régiment d'infanterie, matricule 3220 au recrutement de la Seine, 6e bureau », meurt « pour la France » le 29 mai 1918 au plateau de Branscourt, dans la Marne.

Si les lettres de René ne nous sont pas connues, plusieurs lettres d'un autre musicien du front, Lucien Durosoir (1878-1955, violoniste), parlent du soldat Vierne :

« Le concert de Noyon est reporté au dimanche 30 décembre. [...] Le 23 à Noyon il y a un arbre de Noël donné par une baronne de Rotschild [sic], laquelle viendra avec quelques personnes de la haute banque à Noyon. [...] Comme violoniste, il y aura moi et Mayer, puis Cronet qui se trouve à Ham dans une compagnie de génie et qui est à l'Opéra-Comique; Goupil de l'Opéra, qui est à Noyon et qui joue comme un cochon, c'est le mot. Puis Brossard et un autre aussi que je ne connais pas. Comme altiste un camarade de la 6ème division et Niverd qui joue aussi de l'alto ! Violoncelle, Maréchal et un autre de Noyon, contrebasse Delmas et Fleury à la flûte. Vierne à l'orgue, c'est le frère de l'organiste connu et Magne au piano. [...] » Lettre de Lucien Durosoir à sa mère, le 18 décembre 1917.

« Je vais à Ham tantôt, en auto bien entendu, pour aller chercher de la musique que Vierne a rapportée de permission... » Lettre de L. Durosoir, le 20 décembre 1917.

« Nous avons appris la mort du frère de Vierne, qui était au 26ème territorial. Il a été tué par un éclat d'obus, et ce en accomplissant une corvée dans un secteur actif. J'avais fait sa connaissance à Ham, c'est lui qui devait venir à Noyon, pour le 30 décembre, pour tenir l'orgue. Le départ de son régiment nous obligea de prendre Paray. » Lettre de L. Durosoir, le 22 juin 1918.

En 1918, Louis Vierne compose un poème pour piano, Solitude, op. 44, « à la mémoire de mon frère René ».

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